... si nous voulons empreindre en nous l’idée du beau assez fortement pour qu’elle soit ineffaçable, nous devons nous initier dans les sciences profanes, avant que de vouloir entrer dans le secret des sciences sacrées. Par là nous nous accoutumerons à ces vives lumières, comme on s’accoutume à regarder le soleil en voyant son image dans l’eau.Basile le Grand (329-379).